La Face cachée de l’Industrie de la Laine

La laine est un produit acclamé de tous, mais savez-vous comment nous en sommes revenus à fabriquer ces vêtements et autres types du linge de laine.

Au parcours de notre laine

La laine est un produit qui vient de nos brebis. Naturellement, il n’y a pas de mauvaise laine, mais la façon dont les industries la traite n’est plus très saine. Rappelons que la laine peut se tirer de tout type d’animaux à pelage. On parle de laine de mouton, de lapin, d’agneau, le mohair, le cachemire et l’alpaga ainsi que d’autres animaux. Se vêtir de la laine est une merveille, mais elle fait du chemin à partir de son éleveur jusqu’à en devenir ce fil de laine que l’industrie textile utilise. La laine est l’un des produits qui doit être traité avec soin. En France par exemple, elles sont produites en tonnes par nos éleveurs, et collectées par les collecteurs de laine, puis envoyées en Chine pour son nettoyage. En fait, il n’y a que deux usines de nettoyage de phildar partner 3 5 en France, parce que c’est une industrie polluante, donc l’état n’en veut pas. Revenue de la Chine, la laine est en rouleau de fil à coudre ou en pelote. Voilà pourquoi la laine est chère.

Se vêtir de la laine par la souffrance de brebis

La tonte d’un mouton se fait par des spécialistes en la matière. Mais ce travail revient très cher aux éleveurs, donc ils décident de le faire eux même. Le problème, c’est qu’entre les mains d’un professionnel, le travail est vite fait et bien fait sans blesser l’animal. Sur le reportage de « PETA » sur « L’industrie de la laine n’aimerait pas que vous voyiez cette vidéo » montre la manière aussi barbare qu’atroce, de faire la tonte vu qu’ils sont payés à l’heure. Du coup, l’animal est blessé, des égratignures sur les oreilles, des entorses sur son ventre et on découvre des tétons sur la laine. Le problème est que ni les propriétaires, ni les tondeurs ne se soucient guerre de cette torture des moutons pour de l’argent.

Il y a tellement de faces cachées sur cette industrie de la laine, comme l’état du marché actuel qui est dépassé par les importés. Enfin, on se demande si on va mettre de la laine ou pas.

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